À Djibouti, terre de promesses et de foi, la confiance en Ismaïl Omar Guelleh s’est éteinte, écrasée sous le poids de ses mensonges, de ses fraudes électorales et de ses serments sacrés bafoués. Ce dirigeant, qui règne sans partage depuis 1999, a transformé un pays au potentiel éclatant en un théâtre de désillusions. En méprisant la parole donnée, la volonté du peuple et la sainteté de ses vœux devant Allah, Guelleh a brisé le lien sacré entre un leader et ses citoyens. Comment les djiboutiens pourraient-ils croire en un homme qui trahit à ce point leur espoir et leur dignité ? La réponse est un rejet absolu, un cri de révolte contre un régime qui a fait de la duplicité sa loi.
Des promesses devenues poussière
Guelleh a bâti son pouvoir sur un mirage de prospérité. Il promettait aux djiboutiens des lendemains de justice, d’emploi et de grandeur pour cette nation, joyau stratégique de la mer Rouge. Mais ces paroles ne sont que des ombres, des mots vides soufflés pour endormir un peuple en quête d’avenir. Ce mépris, qui transforme les espoirs des citoyens en simple monnaie d’échange politique, dévoile un dirigeant dénué de toute crédibilité. Quand les promesses s’effacent comme des traces dans le sable, comment accorder sa foi à un homme qui ment avec une telle insolence ?
Une démocratie pillée, un peuple enchaîné

Loin de se contenter de faux serments, Guelleh vole les voix des djiboutiens. Les élections, qui devraient être le sanctuaire de la volonté populaire, sont devenues une mascarade orchestrée par un régime sans scrupules. Les urnes sont manipulées, les votes détournés, chaque scrutin transformé en une offense à la souveraineté du peuple. Cette fraude éhontée n’est pas une simple entorse : c’est une mise à mort de la démocratie, un acte qui dépouille les djiboutiens de leur droit de choisir leur destin. En s’accrochant au pouvoir par la ruse, Guelleh révèle un mépris absolu pour ses citoyens, détruisant toute possibilité de confiance.
Un serment divin profané
Dans une nation où l’islam éclaire les consciences, jurer devant Allah est un engagement d’une gravité suprême. Pourtant, Guelleh, qui a promis de servir avec honneur, piétine ce vœu sacré avec une arrogance sacrilège. Cette trahison, perçue comme un péché majeur par les djiboutiens, expose un vide moral profond. Comment un dirigeant qui renie sa parole devant Allah peut-il prétendre guider une communauté ancrée dans la foi ? Ce blasphème, entrelacé de malhonnêteté, est une insulte à l’âme même de Djibouti.
Une confiance brisée, une colère embrasée
Les trois forfaitures de Guelleh – promesses trahies, votes volés, serment divin profané – forment un poison qui a dissous toute confiance. Comment croire en un homme qui s’empare du pouvoir par la fraude ? Comment espérer en celui qui trahit sa foi pour des gains terrestres ? Comment suivre un leader dont les mots ne sont que des illusions ? La réponse est un refus vibrant, un soulèvement de l’âme contre un régime qui humilie son peuple. Chaque promesse rompue est une blessure, chaque élection truquée une chaîne, chaque serment brisé un affront à la foi des djiboutiens.
En tant que djiboutien, je ressens la fureur d’une nation lassée d’être moquée. La désillusion s’est muée en une colère incandescente, celle d’un peuple qui refuse de plier sous le joug d’un tyran. Guelleh a transformé Djibouti en un décor de mensonges, où les aspirations des citoyens sont sacrifiées pour son avidité. Mais dans l’ombre de cette oppression, une étincelle de révolte s’allume.
Un appel à la libération
Le règne de Guelleh prospère sur l’apathie et la peur, mais les djiboutiens, portés par leur dignité et leur foi, ont le pouvoir de briser ces chaînes. La confiance ne renaîtra qu’avec un nouveau leadership qui respecte sa parole, honore la voix du peuple et craint Allah. Djibouti mérite un avenir où la justice triomphe de la fraude, où la foi guide l’action, où le peuple est souverain. En attendant ce jour, chaque djiboutien doit se dresser contre ce régime perfide. C’est dans la résistance que nous forgerons une nation libre, digne de ses rêves.
